La COP28 touche à sa fin, nous laissant réfléchir à son importance, qui est peut-être la plus cruciale depuis l'accord historique de Paris en 2015. L'engagement de tripler la capacité renouvelable d'ici 2030, de réduire les émissions de méthane et de créer un fonds pour les pertes et dommages crée un nouveau précédent. Plus particulièrement, la COP28 plaide explicitement pour la première fois en faveur d'une transition décisive vers l'abandon des combustibles fossiles.

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Voici un aperçu des principaux points soulignés dans le texte du premier inventaire mondial :

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1. Reconnaître les lacunes en matière de progrès :

• L'accent est mis sur l'insuffisance des progrès collectifs vers les objectifs de l'Accord de Paris et les objectifs à long terme.

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2. Éliminer les obstacles financiers :

• Souligner les obstacles qui entravent la réorientation des capitaux vers l'action climatique, tout en soulignant le rôle central des gouvernements dans la réduction des obstacles grâce à des financements publics et à des signaux clairs adressés aux investisseurs.
• Reconnaître la responsabilité des investisseurs, des banques centrales et des régulateurs financiers face aux défis.
• Reconnaissant le rôle du secteur privé et la nécessité de renforcer les orientations politiques, les incitations, les réglementations et les conditions favorables aux investissements nécessaires.
• Les pays développés sont invités à fournir des ressources financières pour aider les pays en développement.
• Encourager les pays développés à continuer de jouer un rôle de premier plan dans la mobilisation de financements climatiques provenant d'un large éventail de sources, d'instruments et de canaux, en simplifiant l'accès pour les pays en développement confrontés à d'importantes contraintes de capacités.
• Reconnaissant l'importance des entités opérationnelles du Mécanisme financier et du Fonds pour l'adaptation dans l'architecture du financement de la lutte contre le changement climatique. Accueillant avec satisfaction les nouvelles annonces de contributions au Fonds, exhortant à leur réalisation dans les meilleurs délais, et invite les contributeurs à assurer la durabilité des ressources du Fonds, y compris la part des recettes.
• Appel aux pays développés pour qu'ils atteignent d'urgence l'objectif de 100 milliards de dollars par an d'ici 2025.

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3. Appels à l'action urgents :

• Tripler la capacité mondiale d'énergie renouvelable et doubler les améliorations annuelles de l'efficacité énergétique d'ici 2030.
• Accélérer les efforts visant à réduire progressivement la production d'énergie au charbon sans relâche.
• Progresser à l'échelle mondiale vers des systèmes énergétiques à émissions nettes nulles, en incorporant des combustibles à émission nulle ou faible en carbone bien avant le milieu du siècle ou vers le milieu du siècle.
• Abandonner les combustibles fossiles dans les systèmes énergétiques de manière juste, ordonnée et équitable, en accélérant les mesures au cours de cette décennie cruciale pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, conformément aux recommandations scientifiques.
• Accélérer le développement et l'adoption de technologies à émissions nulles et faibles, notamment les énergies renouvelables, le nucléaire, les technologies de réduction et d'élimination telles que le captage, l'utilisation et le stockage du carbone, en particulier dans les secteurs difficiles à réduire, et la production d'hydrogène à faible émission de carbone.
• Réduire considérablement les émissions autres que le dioxyde de carbone dans le monde, en mettant l'accent sur les émissions de méthane d'ici 2030.
• Accélérer la réduction des émissions provenant du transport routier, par différents moyens, notamment le développement des infrastructures et le déploiement rapide de véhicules à émissions nulles et faibles.
• Éliminez progressivement les subventions inefficaces aux combustibles fossiles qui ne permettent pas de remédier à la précarité énergétique ou qui ne se limitent pas aux transitions dès que possible.

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4. Carburants de transition et planification à long terme :

• Reconnaître le rôle des carburants de transition pour faciliter la transition énergétique.
• Soulignant l'importance cruciale de la planification à long terme et de la mise en œuvre accélérée des mesures d'adaptation, en particulier au cours de la décennie en cours, pour combler les lacunes en matière d'adaptation et ouvrir des opportunités.
• Reconnaissant que le soutien financier accéléré apporté aux pays en développement par les pays développés et d'autres sources est un facteur essentiel de cette transition.

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En résumé, le succès de la recherche d'un compromis entre des pays ayant des approches et des besoins divers est remarquable. Les délégués reconnaissent cette réussite, mais seul le temps nous dira si ces mesures sont suffisamment strictes pour atteindre les objectifs climatiques fixés dans l'Accord de Paris.

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Alors que la COP28 touche à sa fin, il est temps pour la société dans son ensemble de transformer ces idées en actions. Laissez OTC Flow être votre partenaire expérimenté pour vous aider à atteindre vos obligations et ambitions environnementales. La prochaine mise à jour nous attend à la COP29 en Azerbaïdjan. D'ici là, restons engagés en faveur d'un avenir durable, unis dans nos efforts en faveur de l'action climatique mondiale.

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